mardi 23 juin 2015

Moteur de recherche



Moteur de Recherche




Qui suis je ?

L'entreprise commencent par la rencontre de deux étudiants de l'université Stanford en 1995. Sergueï Brin alors âgé de vingt-trois ans et Larry Page de vingt-quatre ans sont « pratiquement en désaccord sur tout31 ». Cela ne les empêche pourtant pas, en janvier 1996, de commencer à travailler sur un nouveau moteur de recherche.
Les deux entrepreneurs sollicitent parallèlement famille et amis et parviennent finalement à réunir un million de dollars pour fonder la compagnie. Google Inc. s'installe dans le garage de Menlo Park, loué par une amie, en septembre 1998. La société emploie alors trois personnes
Le moteur de recherche continue ainsi sa croissance, est décliné en plus de cent langues en 2004 et cent cinquante en 2010. En 2010, premier moteur de recherche sur Internet, que 80 % d'internautes américains utilisent contre seulement 35 % de Chinois, qui préfèrent l'outil chinois . En Europe, sa part de marché serait de 93 %.
Le 12 août 2011, le site annonce une mise à jour de son algorithme dénommée « Panda » dans l'ensemble des versions du site (excepté les versions chinoises, japonaises et coréenne) afin de faire baisser la visibilité des sites sans valeurs ajoutées comme les comparateurs de prix ou les agrégateurs de contenus39 (à tel point que certains sites marchands de premier plan sont désormais victimes de « pénalité »).

Le 8 février 2005, l'entreprise pénètre le monde de la cartographie numérique en lançant en ligne un de ses produits les plus populaires : MapsGblog . Ce service est gratuit mais encore limité aux États-Unis, au Canada et en Grande-Bretagne. Le jeudi 27 avril 2006 il couvre la France, l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie, et par la suite, les régions disponibles s'élargissent. Moins de deux mois plus tard, les fonctions très populaires de calcul d'itinéraires et de vues satellites y sont intégrées. Ce service sera plus tard utilisé pour la géolocalisation des téléphones portablesGblog 8 et des GPS.
Pour générer un navigateur, la compagnie utilise le code source et y ajoute les fonctionnalités suivantes :
  • Intégration par défaut de Flash Player ;
  • Intégration d'un lecteur de PDF interne au navigateur ;
  • Ajout d'un système d'impression et de prévisualisation de l'impression ;
  • Changement du logo et ajout de la mention de la compagnie ;
  • Ajout d'un système automatique de mise à jour appelé Update ;
  • Ajout d'une option pour que les utilisateurs puissent envoyer leurs statistiques d'utilisations et rapports d'erreurs à l'entreprise ;
  • Ajout, dans certains cas, de fonctionnalités de pistage appelées RLZ tracking ;
  • Ajout de la prise en charge des codecs propriétaires AAC et MP3 (par défaut uniquement les codecs libres Vorbis, Theora et WebM).


Je suis ...





Selon Microsoft, ce moteur de recherche innove en termes d’algorithmes, qui donne des résultats plus pertinents, mieux organisés et classés en rubriques thématiques1. De plus, de nouvelles fonctionnalités ont été ajoutées, comme des comparateurs de prix.
L’objectif pour Microsoft avec ce quatrième moteur de recherche est de mieux concurrencer la suprématie du géant, le leader absolu dans ce secteur. Ce dernier compte, à la date d'avril 2009, 65,3 % de part de marché. Lors du lancement de son moteur, Microsoft a prévu un budget communication compris entre 80 et 100 millions de dollars.
Ce moteur de recherche est intégré aux pages de MSN et Windows Live. En juillet 2009, un partenariat a été conclu entre Microsoft et Yahoo!. Cet accord prévoit fournir son algorithme.
En mai 2010, Microsoft annonce une alliance avec le constructeur canadien Research in Motion (partout concurrents dans le domaine des systèmes d'exploitation mobiles) qui prévoit l’intégration de son moteur de recherche par défaut dans les terminaux mobiles Blackberry.

undernews.fr





Entreprise internet chinoise. Son moteur de recherche en chinois peut chercher du texte et des images. En juin 2013, c'est le site le plus consulté de Chine et le 5e site le plus consulté sur Internet et veut dire « Cent degrés » en chinois. il propose un index de plus de 740 millions de pages web, 80 millions d'images et 10 millions de fichiers multimédia.
Il suit les consignes du ministère de la sécurité publique et filtre les questions comme les réponses. Du 28 avril au 3 mai 2008, les recherches contenant jialefu (Carrefour, les hypermarchés français, très implantés en Chine) recevaient pour réponse « Cette recherche n'est pas autorisée actuellement », alors que se préparaient des manifestations non officielles contre les symboles de la France, notamment une journée de boycott de Carrefour le 1er mai, après les incidents du relais de la flamme olympique 2008 et les manifestations pro Tibet[réf. nécessaire]. Très obéissant aux ordres de la censure, mais est aussi plus prompt à proposer des liens de téléchargements quasi illégaux (MP3, DivX...).

Definition



Code source :
Le code source est un texte qui représente les instructions qui doivent être exécutées par un microprocesseur. Le code source se matérialise souvent sous la forme d'un ensemble de fichiers textes. Le code source est généralement écrit dans un langage de programmation permettant ainsi une meilleure compréhension par des humains.

Algorithme :
Un algorithme est une méthode générale pour résoudre un ensemble de problèmes. Il est dit correct lorsque, pour chaque instance du problème, il se termine en produisant la bonne sortie, c'est-à-dire qu'il résout le problème posé. On mesure l'efficacité d'un algorithme notamment par sa durée de calcul, par sa consommation de mémoire RAM (en partant du principe que chaque instruction a un temps d'exécution constant).Une notation conventionnelle destinée à formuler des algorithmes et produire des programmes informatiques qui les appliquent est un langage de programmation.

langages de programmation :
Un langage de programmation est mis en œuvre par un traducteur automatique: compilateur ou interpréteur. Un compilateur est un programme informatique qui transforme dans un premier temps un code source écrit dans un langage de programmation donné en un code cible qui pourra être directement exécuté par un ordinateur, à savoir un programme en langage machine ou en code intermédiaire2, tandis que l'interpréteur réalise cette traduction 'à la volée'.


Exemple de compilateur




Clang :
Clang est un compilateur pour les langages de programmation C, C++ et Objective-C. Son interface de bas niveau utilise les bibliothèques LLVM pour la compilation.
En 2005, Apple utilise LLVM dans de nombreux projets commerciaux, dont l'iOS SDK et Xcode 3.1. L'une de ces utilisations était un compilateur de code OpenGL pour Mac OS X qui convertit les appels aux fonctions OpenGL en instructions GPU pour des processeurs graphiques qui ne possedaient pas toutes les fonctionalités requises. Cela a permis à Apple de supporter l'API OpenGL complete sur des ordinateurs utilisant des GPU Intel GMA, améliorant les performances sur ces machines.
LLVM devait à l'origine être la base d'une nouvelle version de GCC, car GCC posait des problèmes à la fois aux développeurs de LLVM et à Apple. GCC est un large projet et son développement est complexe : comme un ancien développeur de GCC l'a dit « Essayer de faire danser l'hippopotame n'est pas vraiment très plaisant » 3 et l'un des participants au Google Summer of Code commenta que « Lire le code de GCC a été un exercice très difficile pour moi.


L'un des buts principaux de Clang est son meilleur support de la compilation incrémentale, afin de permettre de mieux utiliser le compilateur à travers un IDE. GCC a été conçu pour utiliser un classique schéma de compilation compiler--éditer les liens--débuguer, et bien qu'il fournisse des outils de compilation incrémentale et de compilation à la volée, les intégrer avec d'autres outils n'est pas toujours facile. Pour exemple, GCC a une étape appelée « pliage » qui est la clé du processus de compilation mais qui a pour effet de transformer l'arbre de compilation d'une manière qui ne le fait plus ressembler au code original. Si une erreur est trouvée pendant ou après cette étape, il peut être difficile de retrouver l'endroit dans le code d'où celle-ci provient.


Logiciel




Portail:Logiciels_libres :


Rencontre





Les Rencontres mondiales du logiciel libre se déroulent chaque année, depuis 2000, au début du mois de juillet. Créées à l'initiative de l’Association bordelaise des utilisateurs de logiciels libres (ABUL), elles ont eu lieu plusieurs années à Bordeaux, puis dans d'autres villes de France ou de pays voisins francophones. La fréquentation de l'événement augmente régulièrement : alors que la première édition avait rassemblé plus de 1 000 personnes venues de plus de 50 pays des cinq continents2, ce sont plus de 4 000 visiteurs qui se sont déplacés pour assister à l'édition 20083.
Les RMLL sont aujourd'hui une combinaison de manifestations simultanées complémentaires :
  • une rencontre de concepteurs et développeurs venant échanger sur leurs projets dans une ambiance conviviale ;
  • une manifestation de sensibilisation au logiciel libre s'adressant à un large public ;
  • un rendez-vous des bénévoles avec le « Village des Associations » ;
  • un lieu de formation personnelle et professionnelle.
  • une possibilité de se proposer en tant que bénévole.

L'organisation de conférences techniques est pour les spécialistes l'occasion d'échanger sur leurs projets, tandis que l'organisation de cycles de conférences « grand public » et d'ateliers pratiques permet à tous de découvrir les logiciels libres et de dialoguer avec les auteurs et utilisateurs des logiciels.
Si les aspects techniques restent un thème central dont la qualité est à la base du renom des RMLL, le champ de la manifestation s'est élargi d'année en année et intéresse la culture, l'art, les loisirs, l'accessibilité et le handicap, l'économie sociale et solidaire, le développement durable, la solidarité internationale…
Les RMLL sont organisées par une équipe de bénévoles avec le soutien matériel et financier d'organismes publics, privés et de collectivités territoriales partenaires (régions, départements, communautés urbaines ou d'agglomération, communes) qui aident l'association locale responsable.


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